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bonjour John,
Poutre en fibre de carbone détachable Newton 16 ″
Poutre en fibre de carbone détachable Newton 16 ″… Poutre en fibre de carbone détachable Newton 16 ″.
Poutre en fibre de carbone détachable Newton 16 ″, Poutre en fibre de carbone détachable Newton 16 ″, c'est une opération relativement simple à réaliser même à la maison, c'est une opération relativement simple à réaliser même à la maison?bonjour John,
Tu as tout à fait raison, Après des semaines de lecture.
Après des semaines de lecture, Après des semaines de lecture, même si je n'ai pas pris le temps d'apprendre correctement comment effectuer la réduction des données.
même si je n'ai pas pris le temps d'apprendre correctement comment effectuer la réduction des données.
même si je n'ai pas pris le temps d'apprendre correctement comment effectuer la réduction des données, même si je n'ai pas pris le temps d'apprendre correctement comment effectuer la réduction des données. même si je n'ai pas pris le temps d'apprendre correctement comment effectuer la réduction des données.
même si je n'ai pas pris le temps d'apprendre correctement comment effectuer la réduction des données, même si je n'ai pas pris le temps d'apprendre correctement comment effectuer la réduction des données:
http://rohr.aiax.de/Using%20a%20Bath%20-%20EN.pdf
http://gr5.org/bath/bathanalysisv2.5.pdfP:S: même si je n'ai pas pris le temps d'apprendre correctement comment effectuer la réduction des données. même si je n'ai pas pris le temps d'apprendre correctement comment effectuer la réduction des données. Donc, si vous utilisez l'interféromètre, Donc, si vous utilisez l'interféromètre.
Bonjour et à bientôt
Mircobonjour John,
Benvenuto anche da parte mia qui sul forum.
Sono curioso di poter vedere le tue realizzazioni.
à bientôt
MircoOuah Massimo, belle photo…La surface a l'air bien lisse et uniforme complimentoniiiiii, vous faites un excellent travail
Salut Alberto,
heureux de te relire ici dans le blog et félicitations pour le nouveau papaTout d'abord, je joins les liens vers trois articles écrits par Giulio et Enrico présents ici sur le site, tout se référant à la construction et à l'utilisation du testeur ronchi / foucault.
Construire et utiliser le testeur Foucault “notamment Texereau”
j'essaye de répondre point par point:
1) les sites qui signalent l'utilisation de vieilles ampoules à incandescence c'est parce qu'elles datent un peu, de nos jours, il est habituel d'utiliser de simples LED vertes (Ils n'ont même pas besoin d'être particulièrement brillants).
2)Personnellement dans le test de ronchi je place le crack (fait avec deux lames de canif finement aiguisées) devant la source et le réseau uniquement devant l'oeil ou la caméra (évidemment avec les droites parallèles à la fissure).
3)Le pointeur laser pour la collimation n'est pas indispensable, par exemple je ne l'utilise pas. Ensuite, vous devez tout d'abord vous positionner avec la source lumineuse approximativement au centre de courbure du miroir ou deux fois la distance focale. Après ça, si la source lumineuse est placée juste à gauche de l'axe optique du miroir, la lumière réfléchie se retrouvera juste à droite de l'axe optique, si tu le mets juste sous le reflet ça finira dès que sora, et ainsi de suite. L'important est de maintenir la distance entre la source lumineuse et le faisceau de retour aussi faible que possible, 1-2 cm au maximum (évidemment le faisceau lumineux de retour doit passer à travers le réseau de ronchi). Pour le foucault, en revanche, une lame qui la recouvre à moitié doit être placée avant la LED. La lame elle-même doit dépasser de quelques centimètres au-dessus de la LED. La lumière revenant du miroir doit être interceptée par cette partie source des pales. Ceci assure le parallélisme entre la lame source et la lame de test.
4)Je préfère personnellement la source ci-dessous et le treillis juste au-dessus. De cette façon, je minimise autant que possible l'introduction d'astigmatisme dans le test.Cela dit, Je suis d'accord avec la procédure que vous avez décidé d'entreprendre, à part avec le point 1 dans lequel tu dis de ne pas mettre la fente devant la LED. Cette fissure est cruciale. En principe, la largeur idéale de la fente devrait être de l'ordre de grandeur de l'espacement des lignes dans le réseau des ronchis (en général 50-150 microns de bene).
j'espère avoir été utile…à bientôt
Ciaooobonjour Franco,
Félicitations pour votre accomplissement
Quelques observations:
1) vous devez absolument commencer à ajouter de l'eau pendant le traitement, décompose la poussière dans l'air, lubrifie les surfaces et répartit l'abrasif plus uniformément.
2) Si vous le pouvez, essayez de limiter les saccades de l'excentrique pendant la rotation. La pulvérisation d'eau entre les verres peut certainement aider à minimiser les clics, ou diminuer le poids ajouté ci-dessus, ou enfin diminuer un peu le jeu qu'il y a entre les différents composants des bras.
3) En regardant les yeux à mon avis le débordement que vous utilisez est un peu excessif, Je ne voudrais pas que vous génériez un chiffre incorrect. Mais peu importe, pour l'excavation, Je vous suggère d'utiliser une autre technique.
4) Comme déjà suggéré par Giulio, Je passerais au traitement “Poste fixe” c'est une technique éprouvée et qui fonctionne bien (Je te le dis parce que je l'ai aussi utilisé). miroir sous, outil al 70/80% du diamètre du miroir, et débordent autour du 20-25% le diamètre de l'outil. Vitesse de rotation de la table tournante encore un peu plus soutenue, sans exagérer et si vous le souhaitez, vous pouvez utiliser un léger mouvement droite / gauche de l'outil (10-15 mm) pour éviter que le bord de l'outil passe toujours au même endroit au-dessus du miroir (Bien qu'avec des grains grossiers, vous pouvez très bien utiliser le “poste fixe” pur). À mon avis, de cette façon, vous devriez vous sentir bien. Faites le nous savoirCiao
Bonne chance et à bientôt
MircoHeilaaaaaaa quel beau travail qui sort
très Massimo
Je suis parfaitement d'accord avec la méthode de procédé que vous avez choisie pour la parabolisation. Sur un miroir aussi fin et rapide, J'aurais aussi choisi de travailler vers le centre.
Une grande chance, pour la suite.
Je reste à l'écouteEhilààààà Massimo,
quel travail tu fais
Vous pouvez voir qu'il y a beaucoup de méthode dans votre travail et les résultats commencent à apparaître…considérant surtout, la taille et la faible épaisseur du verre…
Très bien
à bientôt
MircoBonjour Carlo
benvenuto nel blog anche da parte mia.
Anche secondo me un 300 f5 è la scelta ideale, come prima realizzazione. Adeguatamente complicato per apprendere e scontrarsi con le principali difficoltà realizzative, ma ancora gestibile e dai tempi costruttivi non eccessivi.
Per quanto riguarda la realizzazione a macchina, un paio di note:
1) Concordo con Massimo, nel dire che padroneggiare la lavorazione manuale in primis è molto importante, in quanto si riesce a capire come le varie tecniche di lavorazione vadano a modificare in maniera diversa la superficie dello specchio.
2) Detto ciò non nego che anch’io sarei per la lavorazione a macchina , soprattutto per la fase di sgrossatura e lucidatura, fasi queste molto lunghe e a mio avviso noiosette. La fase in cui davvero serve avere l’abilità per generare un ottimo specchio quindi, resta la parabolizzazione, fase questa che trovo assai complicata da gestire esclusivamente a macchina. Ecco che, se la parabolizzazione la si deve fare a mano, serve comunque prima aver acquisito la necessaria padronanza delle tecniche. Insomma non partirei da zero con le lavorazioni a macchina, ma neanche diventerei super bravo nelle lavorazioni a mano, se l’intenzione finale è quella di focalizzarsi sulle lavorazione a macchina, che è totalmente diversa.Cela dit, se hai le capacità tecniche per costruirti una macchina non ti dico di no, anche perché già solo un piano rotante (possibilmente con regolatore di velocità di rotazione) può venire molto utile anche nella sola lavorazione manuale.
Vedo che le conoscenze di elettronica non ti mancano, se ti serve, io ti posso dare delle dritte sulla meccanica. Non so se serve a vere tre alberi completamente indipendenti, forse ne basta anche solo 1 e poi trasmettere il moto tramite pulegge.La riga elettronica non penso ti serva al momento, a meno che tu non voglia conoscere la lunghezza focale dello specchio con la precisione del micron (cosa inutile direi), se mai ti basta un encoder lineare di una ventina di centimetri max, tanto da coprire il range di movimento del tester (in quel range si, ti può servire la precisione di misura).
In ultima, al momento non mi concentrerei sulla fenditura, potrebbe essere un upgrade da fare in seconda battuta, tanto vedrai che anche solo con una fenditura fissa ben fatta, ti troverai benissimo e non ti servirà nulla di più complicato.
Bonjour et à bientôt
MircoSalut Michele,
Si si certo bisogna verificare la cella a tutte le inclinazioni, però era così evidente che lo spessore non era adeguato già solo puntato allo zenit, che non ho proseguito oltre.
La cella a 27 punti sicuramente può aiutare, ma la vedo sempre dura farlo rimanere in forma mano a mano che lo si inclina (parlo sempre del 25 mm eh).
Salut Michele, buon proseguimento, attendo curioso, i vari aggiornamenti e i progressi dei lavori
Ciao
MircoSalut Michele
La sbozzatura a macchina, io l’ho sempre fatta con un utensile sub diametro, generalmente 60-70% del diametro dello specchio e mai con l’utensile a pieno diametro.
Per quanto riguarda la scelta del blank, basta fare due semplici simulazioni per capire che uno specchio da 25mm NON è sufficientemente rigido.
Nell’immagine allegata riporto 3 diverse casi a confronto:
il primo con uno specchio scavato in maniera convenzionale, blank da 800mm f3 spessore 25mm
Il secondo con un disco piano sempre da 800mm di diametro e spessore 25mm
Il terzo con un menisco sempre di 800mm di diametro f3 spessore 25mm.La soluzione convenzionale ti da un errore P-V sul fronte d’onda di ben 212nm solamente di deformazione dovuta il suo stesso peso.
Anche le altre due soluzioni danno valori di deformazione assolutamente inaccettabili per uno specchio astronomico, il che rende evidente, che 25mm di spessore è uno spessore troppo esiguo per questo diametro (con cella a 18 points d'appui, se si sale con il numero di appoggi, non so cosa succede, ma di certo la cella si complica di un bel po’).
Un’altra informazione che mostra questa simulazione, è che un disco piano e un menisco, hanno sostanzialmente la stessa rigidezza e mostrano le stesse deformazioni sotto la spinta della gravità, cosa prevedibile vista l’esigua curvatura del menisco rispetto al disco piano.Un consiglio che ti posso dare invece, è quello di contattare direttamente la Schott, la quale può vendervi un’intera lastra di borosilicato (la lastra è grande eh, se non ricordo male tipo 1200mmx3000mm), spessori dai 35 ai 53mm mi sembra, mémoire ford, a cira 3000 euri. Se trovate qualcun altro interessato, potete farvi tagliare a waterjet vari dischi, e poi dividere la spesa.
Ciao
MircoSalut Michele,
Non avevo impostato una curva di discesa precisa e purtroppo non abbiamo acquisito i dati di temperatura, semplicemente una volta finito il mantenimento ad alta temperatura, abbiamo spento il forno e abbiamo lasciato che si raffreddasse naturalmente per tutto il weekend. Il lunedì successivo abbiamo aperto il forno ed estratto il blank.Si avevo fatto delle prove con luce polarizzata, si notavano dei leggeri tensionamenti proprio in corrispondenza del bordo dello specchio, ma non sono riuscito a quantificarli. Con il senno di poi sarebbe stato opportuno fargli fare un ciclo di ricottura.
Le tensioni residue sono proporzionali alla velocità di raffreddamento e al coeff di dilatazione termica, quindi a parità di curva di raffreddamento, in un in blak in pirex si dovrebbero generare 1/3 delle tensioni rispetto ad uno in calciosodico. Infatti se mai dovessi fare un altro tentativo proverei a farlo in pirex.
Menisco e struttura erano stati generati in un’unica infornata, e i pezzi della struttura di supporto in contatto con il menisco, erano stati pretagliati in modo da tenere in considerazione la curvatura dello stesso.
Avevo già visto il link, ma grazie che me l’hai risegnalato, me l’ero perso. La disposizione delle nervature di supporto che avevano scelto non mi convinceva affatto, così le ho ridisegnate secondo altri ragionamenti e il risultato è quello mostrato nelle pagine precedenti.
Tu hai già in mente qualcosa di preciso per il tuo progetto? hai qualche idea?
à bientôt
Ciao
MircoSalut Michele,
Cependant, je reste sceptique quant à la possibilité de construire un miroir en aluminium. Je connais plusieurs miroirs en aluminium, beaucoup d'entre eux montés sur des satellites, mais sur des télescopes optiques terrestres, Je pense qu'il y en a très peu, et ceux qui existent pour des applications particulières ou qui sont expérimentaux.
Dans presque tous les sites que j'ai visités, ceux qui produisent et vendent des miroirs en aluminium, les proposer pour les télescopes à rayons X, pour applications cryogéniques, d'interférométrie, par imagerie médicale, par laser, IR et plus, mais pour l'optique des télescopes dans le visible, Je ne trouve pratiquement rien (ceci également dans les pages que vous avez liées).
Cela dit, Je suis toujours prêt à changer d'avis, et comme toi, Je suis avec intérêt les tests que font les Brésiliens, on verra
BonjourSalut Michele,
Pouvoir utiliser l'aluminium comme blanc est quelque chose qui plairait à tout le monde. Son petit prix, possibilité d'enlever mécaniquement de la matière à l'arrière du miroir pour l'alléger, faible poids etc. etc.. Malheureusement, cependant, il existe des facteurs limitatifs si importants qu'il y a pratiquement très peu de miroirs en aluminium. Les seuls que je connaisse (dans les fréquences de l'opticien) ce sont les miroirs de certaines chambres satellites pour l'observation terrestre, qui, cependant, ont des contrôles de température fous, qui maintiennent le banc optique entier dans une plage d'un dixième de degré centigrade ou une certaine expérimentation ESO et similaires, qui ont réussi à obtenir des résultats satisfaisants mais avec des techniques de traitement qui dépassent largement la portée d'un amateur.
Il y a des problèmes dus à la fois au coefficient de dilatation thermique excessif, à la fois au fait que comme le dit Giulio, il n'est pas du tout facile d'obtenir un degré de polissage adapté à un télescope optique et mille autres problèmes, au fluage à basse température etc. etc.…
Peut-être que pour certains petits miroirs, cela pourrait aussi être bien, mais j'ai encore des doutes à ce sujet. Dans tous les cas, je suivrai la discussion du CN avec intérêt.
Bonjour et merci
MircoSalut Michele,
Merci!!
Si credo anch’io che abbia del potenziale questa tecnica, anche se non sono mai riuscito a verificarla del tutto. L’inconveniente è che c’è davvero molto lavoro dietro per ottenere un blank così fatto.
Però il tarlo del blank lightweight mi frulla sempre per la testa, e prima o poi spero di avere nuovamente il tempo per riprovarci.
Ciao
Mirco -
AuteurDes postes